Texte : La liberté n'a plus sa place - Jean Debruynne
La liberté n'a plus sa place
On l'assassine chaque nuit
La mort vient qui regarde en face
Saigne le crime et tout détruit
Les bombes ont mis les corps en loques
Les front se mêlent aux pavés
L'air enfumé brûle et suffoque
Le ciment des murs est crevé
Le hurlement des ambulances
Le feu, le chagrin et le cri
Jusqu'à ce que tombe un silence
Qui est celui de l'incompris
Qu'ils soient soldats ou kamikazes
Ou terroristes ou policiers
C'est la violence qu'ils embrassent
Tous fiers de leurs bourreaux d'acier
Ils sont acharnés à détruire
N'ayant de commun que leurs torts
N'ayant à l'idée que de nuire
Tous ils ne servent que la mort.
On l'assassine chaque nuit
La mort vient qui regarde en face
Saigne le crime et tout détruit
Les bombes ont mis les corps en loques
Les front se mêlent aux pavés
L'air enfumé brûle et suffoque
Le ciment des murs est crevé
Le hurlement des ambulances
Le feu, le chagrin et le cri
Jusqu'à ce que tombe un silence
Qui est celui de l'incompris
Qu'ils soient soldats ou kamikazes
Ou terroristes ou policiers
C'est la violence qu'ils embrassent
Tous fiers de leurs bourreaux d'acier
Ils sont acharnés à détruire
N'ayant de commun que leurs torts
N'ayant à l'idée que de nuire
Tous ils ne servent que la mort.
Commentaires
Enregistrer un commentaire